« Le Pape est mort, un nouveau Pape est appelé à régner. Araignée ! quel drôle de nom, pourquoi pas libellule ou papillon ? Vous n’avez pas bien compris, je recommence.
Le Pape est mort, un nouveau Pape est appelé à régner. Araignée ! quel drôle de nom, pourquoi pas libellule ou papillon ? Vous n’avez pas bien compris, je recommence.
Le Pape est mort, un nouveau Pape est appelé à régner. Araignée ! quel drôle de nom, pourquoi pas libellule ou papillon ? »
Tout ce ramdam pour déterminer le nom du prochain pape alors qu’on sait tous qu’il sera appelé Araignée.
Ahah la réf à Jacques Prévert !
Pour ceux qui ne l’ont pas :
« Le Pape est mort, un nouveau Pape est appelé à régner. Araignée ! quel drôle de nom, pourquoi pas libellule ou papillon ? Vous n’avez pas bien compris, je recommence.
Le Pape est mort, un nouveau Pape est appelé à régner. Araignée ! quel drôle de nom, pourquoi pas libellule ou papillon ? Vous n’avez pas bien compris, je recommence.
Le Pape est mort, un nouveau Pape est appelé à régner. Araignée ! quel drôle de nom, pourquoi pas libellule ou papillon ? »
Jacques Prévert, « Le Pape est mort ».
Pour être tout à fait honnête, je l’ai apprise la semaine dernière dans En quête de politique… (Ça rend mieux à la radio qu’à l’écrit, d’ailleurs !)